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MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Then, as a matter of fact, you did not get back to Cape Cod? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: How? MR. COTTAM: They were sending it for the trans-Atlantic two-man ships. They were sending the news to the senior ships. SENATOR SMITH: Where? MR. COTTAM: These ships that contribute to the Marconi press. . . . SENATOR SMITH: You got into communication? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: With one of the Marconi stations? MR. COTTAM: I did not establish it. I was receiving the press communications from Cape Cod. SENATOR SMITH: While you were undressing there? MR. COTTAM: I was not undressing. SENATOR SMITH: After you had taken of your coat? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: And then did you sit down to your instrument? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: And received this message? MR. COTTAM: I received about four. SENATOR SMITH: In how many minutes? MR. COTTAM: About seven or eight minutes. SENATOR SMITH: You received four in seven or eight minutes? MR. COTTAM: Yes, sir. SENATOR SMITH: Did that include anything from the Parisian? MR. COTTAM: No, sir. SENATOR SMITH: Simply this Cape Cod relay service? MR. COTTAM: Yes, sir; sending messages for the Titanic. I was taking the messages down with the hope of retransmitting them the following morning. SENATOR SMITH: Let us understand that a little. When did you first know anything about the Titanic? MR. COTTAM: I had had communication with her late in the afternoon, half past 5 or 6. |
M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : En fait, vous n’êtes pas retourné à Cape Cod? M. COTTAM : Si, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Comment? M. COTTAM : Ils l’envoyaient pour les navires transatlantiques. Ils envoyaient la nouvelle aux navires plus anciens. LE SÉNATEUR SMITH : Où? M. COTTAM : Ces navires qui contribuent à la presse Marconi. . . LE SÉNATEUR SMITH : Vous êtes entré dans la communication? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Avec l’une des stations Marconi? M. COTTAM : Je ne l’ai pas établie. Je recevais les communications de presse de Cape Cod. LE SÉNATEUR SMITH : Pendant que vous vous déshabilliez? M. COTTAM : Je ne me déshabillais pas. LE SÉNATEUR SMITH : Après que vous ayez pris votre manteau? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Et vous êtes-vous assis près de votre matériel? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Et vous avez reçu ce message? M. COTTAM : J’en ai reçu environ quatre. LE SÉNATEUR SMITH : En combien de minutes? M. COTTAM : Environ sept ou huit minutes. LE SÉNATEUR SMITH : Vous en avez reçu quatre en sept ou huit minutes? M. COTTAM : Oui, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Est-ce que cela comprenait quelque chose du Parisian? M. COTTAM : Non, monsieur. LE SÉNATEUR SMITH : Simplement ce service de relais de Cape Cod? M. COTTAM : Oui, monsieur; envoyer des messages pour le Titanic. Je retirais les messages dans l’espoir de les retransmettre le lendemain matin. LE SÉNATEUR SMITH : Laissez-nous comprendre un peu cela. Quand avez-vous appris pour la première fois quoi que ce soit sur le Titanic? M. COTTAM : J’avais eu une communication avec lui en fin d’après-midi, vers 5 heures et demi ou 6 heures. |
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